Maître Oz me donne rendez vous pour 14h30. J’arrive à l’heure. Apres avoir dit bonjour, Maître réclame le cahier de punitions. Je le lui présente.

• Personne ne demandait mon avis
• Je discute les ordres de mon Maître
• Je n’écoute pas mon Maître
• Je ne demande pas les autorisations de publication
• Pendant le dial j’ai dis au Maître « Allez vaquer à vos occupations, je vous donne l’autorisation
• J’ai traité Alison de fayot
• J’ai voulu tricher en faisant corriger mes fautes d’orthographe du blog par une dominante.
• Les comptes rendu des soirées cam pinces à linges et body paint ne sont pas faits
• Pendant l’absence du Maître, je me suis présentée en cam alors que je n’avais pas l’autorisation.

Maître est déçu par mon comportement. Il m’ordonne de me déshabiller et de mettre les bracelets. Ensuite, Maître me met un collier en chaîne autour de mon cou et le relie aux bracelets des poignets. Cela tire, j’ai l’impression d’être étranglée Je réclame à Maître de le desserrer, Maître répond « C’est pour d’éviter que tu bouges » Puis Maître m’allonge sur le canapé, et met des pinces à linges sur les têtons et me retourne les fesses face à Maître OZ. Je suis mal à l’aise, avec ces pinces appuyées.

Maître commence la série de fessées. J’essaie de deviner de quel instrument se sert Maître.

Le 1er coup tombe, c’est du martinet, le 2iémé coup claque,

• « Tu comptes » -3,
• On reprend à zéro, 1,2,3 je ne sais pas combien coup il va me donner, c’est difficile de gérer. 4,….7,8,9,10 ….tiens cela s’arrête .

Un onzième coup vient de s’abattre sur mes fesses

• je n’ai rien entendu

• Merci Maître »

Maître prend un autre instrument, je pense que c’est la raquette, et là de même je dois compter les coups. J’en reçois 10 .coups Puis Maître se sert d’une cuillère en bois, d’une ceinture, la cravache, le bambou, du fouet des brindilles façon Maître OZ du whip. De tous ces instruments, j’en reçois 10 coups et je dis stop à plusieurs reprises mais Maître me corrige de mon mauvais comportement. A chaque fin de série, je remercie Maître.

Mes fesses n’en peuvent plus, j’ai mal, je me cache pour pleurer, Mais Maître insiste pour que je le regarde de face. Il me tourne brutalement. Mes larmes coulent de plus belles, plus moyens de les cacher.

Apres la série de fessées, Maître me mets des pinces sur les tétons et le sexe et joue à tirer dessus au plus que je crie au plus Maître tire et joue avec les pinces. Puis il me les enlève une à une, il ne reste que celle des têtons d’où il les retire d’une délicatesse, les deux en même temps d’un coup sec ; Douleur garantie mais pas désagréable. Mes seins n’ont pas le temps de se rétablir que Maître me les pinces avec ses doigts. Il en profite pour pincer tous le corps, je ris, je pleurs, je gesticule, Maître continue les pincements. Cela le fait plaisirs.

Enfin Maître me délivre de mes liens, je demande pour aller aux toilettes

« Non » me dit il

• S’il vous plaît, Maître »

• Non

• Mais je suis pressée, insiste je

• Vas-y

• Merci Monsieur, heu Maître

• Quoi Monsieur

Je ne l’ai pas fait exprès A mon retours, je sens l’odeur des bougies Maître les éteint

• LiO tu as de la chance, je n’ai pas le temps de faire la bougie.

Le temps à passé trop vite.